On se reverra 8-12

CHAPITRE 08 .  j .  ·

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<< ]’voulais que tu sois le premier, j’voulais que tu sois le dernier.>>

Selem Aleykoum,

1 1 Trois ans plus tard. 1 1

OMNISCIENT

Notre belle Sihem a maintenant terminé ses études d’avocate, et suit un stage d’un an dans un cabinet très réputé à Paris.

Physiquement, elle s’est beaucoup embelli, et continue toujours le sport.

Mentalement, elle est devenue plus sûre d’elle que jamais et il y’a deux ans, elle a eu une intense relation avec Youness qui s’est très mal terminée.

Depuis, elle ne se laisse en aucun cas approcher par les hommes, tous plus vicieux les uns que les autres.

1 1 Un soir de juin . 1 1

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Je sors de la douche, et enfile ma robe 1 1

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Ensuite, je me lisse les cheveux, me maquille, puis je prends ma pochette, mes clés de

,

voiture et direction les champs Elysées.

Tu ne croyais tout de même pas que j’allais aller en boite de nuit ?

Rire ce genre d’endroits ce n’est que pour les vieilles meufs, qui n’ont pas les moyens de s’offrir une robe telle que la mienne, et qui

n’ont rien de mieux à faire les vendredis soir que d’aller se frotter au gars, comme des

ani•maux.

J’arrive donc, devant le restaurant quatre étoiles, donne mon nom au portier, et entre.

Là je me dirige immédiatement vers Saad, mon patron, qui m’a proposé de l’accompagner à cette soirée privé.

Lui – Waouh vous êtes sublime Sihem

Moi- Merci

Il était très beau aussi, mais je ne vais pas lui dire.

Il ne faudrait pas qu’il s’imagine des trucs.

[…]

Je vais prendre un verre de champagne, quand le serveur arrive a mon niveau et en verse le contenue sur ma robe. Je le regarde un moment avec le regard noir, quand je le reconnais : c’est Ayoub.

Donc maintenant monsieur travaille comme

serveur?

Ayoub -Sihem? Je …

Immédiatement je prends ma pochette, ramasse ma robe qui traîne, et me dirige vers les toilettes .

Je prends ma pochette, ramasse ma robe qui traîne, et me dirige vers les toilettes .

C’est une blague, depuis quand ce petit con se permet de s’approcher de moi, et même de m’adresser la parole?

J’entre et vois bon nombre de femme se remaquiller, dommage pour elles, jamais elles ne m’arriveront à la cheville rire.

J’allume l’eau, et essaie tant bien que mal d’enlever la tâche de champagne qui se trouve sur ma robe.

Je me mets à frotter avec aplomb, mais il me semble bien que c’est peine perdue.

J’ouvre à mon tour ma pochette, prends mon rouge à lèvre, et m’en remets un peu.

L’énorme tache sur ma robe me rappelant encore plus qu’il avait réussis à me gâcher la soirée, je m’apprêtes à sortir quand un coup de feu retentit.

Silence général dans les toilettes.

Des cris se firent entendre un peu partout, puis plus rien.

Toutes les filles présentent autour de moi, se mirent à se bousculer afin de se mettre à l’abris dans les toilettes.

J’attendais quant à moi, que le bruit ne cesse que le temps d’un instant, pour me permettre de passer dans la cuisine dont la porte se

trouvai.t a un metre a pe.ine .

Je sors ma tête de cet endroit qui devenait à présent trop étouffant, et c’est là que j’en vis un.

Un attentat, oui peut être que ces hommes font partie de Daesh et qu’ils sont venus pour répondre à une vengeance contre l’Occident .

Il faut dire qu’on en a tellement entendu

parler ces deux dernières années, que ça ne m’étonnerait presque pas.

L’homme me regarde et je détourne instantanément le regard, où du moins avant qu’il ne tente quoique ce soit, mais c’est déjà trop tard.

Il pointe alors son arme sur moi, charge, puis tire en plein sur ma cuiss3

Je m’écroule à terre en guise de réponse, hurlant ma douleur, quand ce dernier s’approche de moi à grands pas.

Il m’empoigne les cheveux et se met à me frapper, comme pour m’achever semble t-il.

Au bout de quelques minutes qui me parurent interminable, il s’arrête.

Je ne tentais même plus de m’enfuir, à quoi cela aurait-il pu servir?

Je suis prise au piège.

Plusieurs hommes viennent se joindre à lui.

? – Il c’est passer quoi là?

? – C’est c’te racli qui essayait de s’enfuir mais j’l’ai arrêté avant

? -Tu l’as bien amoché quand même

Disant cela, il me soulève et me regarde un moment avant de déclarer :

? – Elle est plutôt bonne, on la prend Comment ça on la prend ?

Moi – Quoi ? Murmures-je

Je n’arrivais même pas à m’exprimer clairement, je devais vraiment être pathétique à voir.

? -Allez, tu viens avec nous ma beauté

Il me soulève de sorte à pouvoir me porter dans ses bras, puis il                                  marche à travers les corps enchevêtrés.

Mes yeux sont rivés sur le sol où je vois des hommes et des femmes inerte et dont les vêtements sont ensanglantés.

Je refoule une envie de vomir.

[…]

Arrivés devant une grande bâtisse à l’allure moderne, je me fais hurler dessus par un homme, qui a la vingtaine à peine.

Voyant que je ne réagis pas plus que cela, il me gifle, et avant qu’il ne continue, un second homme vient s’interposer.

Lui- Nabil va aider le reste des hommes dans le jardin

Nabil – Mais ..

Lui – Vas y j’m’en occupe

Je ne comprenais pas en quel honneur il s’était mis entre nous, mais après ce qui venait de se passer je n’avais pas envie de lui montrer le moindre signe de gratitude .

Lui – T’as quoi sur le visage?

Moi – Ça se voit pas ?

Lui – Tu devrais éviter de faire la folle ici,

c’est un conseil

Je ne prends pas la peine de lui répondre.

Lui – Allez, suis moi

Je le suis par défaut, alors qu’il m’emmène à l’intérieur de cette grande maison.

Nous arrivons dans un salon qui, je dois le dire, était juste immense.

Des hommes présents dans la pièce me regardèrent avec dégoût et envie à la fois, alors que je tentais de faire bonne figure malgré ma douleur.

Certains d’entre eux se mirent à se moquer de moi, d’autres encore commentaient ma tenue qui ne ressemblait plus à rien.

Un homme plutôt imposant descend les escaliers et leurs demande de se taire.

Homme – Pourquoi t’es encore là toi? Dit-il d’un air surpris

Je ne lui réponds pas, et plaque ma main sur ma cuisse dont le sang coulait à flot.

Je me mis à pleurer de douleur tellement la souffrance était présente.

L’homme s’approche de moi, et m’emmène dans ce qui semble être la cuisine, puis il sort du désinfectant et des compresses qu’il presse vigoureusement sur ma plaie .

Je pleurais encore plus de douleur, lorsqu’un second homme, en l’occurrence celui du début, vient prendre la relève .

Lui – Ça va comme ca ?

Moi- Ça va pas du tout, j’ai trop mal dis-je en essuyant mes larmes

Lui-Tiens garde ça avec toi

Disant cela, il me tend un sachet contenant de la poudre blanche.

Moi-T’es malade toi, j’touche pas à ça

Je repousse doucement le sachet, et enlève maladroitement sa main de sur ma cuisse.

Moi – Laisse laisse j’vais faire

La douleur est dans la tête, rien que dans la

teA

te me re,

pe

tes-J•  e pour me rassurer .

Une dizaine de minute plus tard, l’homme me monte dans une chambre puis je l’entends qui ferme la porte à clé.

Tu n’as aucune idée de ce qui t’attends ici ma belle Sihem

suivre  

A…         .  

Ça vous plait toujours?

Restez accroché, le plus intéressant arrive                                                               ,il>.

Kisss mes poules .

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CHAPITRE 09.   J . ·

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« Verre de champagne, j’penses à toi dans mes rêves pourtantj’suis éveillé va falloir qu’on en parle.>>

Selem Aleykoum

Lui-Apprends à fermer ta gueule quand t’es

à côté de moi .

Je le regarde un moment, en me retenant de pestiférer, lorsqu’il s’approche dangereusement de moi.

Je me recule instinctivement, mais je sens quelque chose de dur contre mon dos : le mur.

Lui – Baisse les yeux quand j’te parle .

Moi- C’est une blague? Mais tu te prends pour qui?

Se sentant sûrement dépassé par ma  réaction, il pose sa main sur ma gorge qu’il s’amuse à serrer pour tester mes limites semble-t-il, tout en plaquant son corps contre le mien.

Lui – Tu vois, les p’tites putes bourgeoises dans ton genre j’en bouffe dix par                                                 jour, alors si t’as pas envie que j’abimes ce joli visage dit-il en le caressant du bout de son doigt j’te conseille de te tenir tranquille .

Au bout d’un court instant qui m’a paru duré une éternité, il me lâche avec un léger rire

destiné à me prouver qu’il a réussit à m’intimider.

Je poses ma main sur ma gorge comme si j’essayais d’y rétablir la circulation sanguine, tout en essuyant les quelques larmes qui s’étaient échappées de mes orifices.

Après cela, il s’assoit sur le lit et me regarde longuement tout en allumant son joint.

Me sentant tout à coup nue face à cet inconnu qui avait attenté à ma vie quelques secondes plus tôt, je tire sur la dentelle de ma robe pour tenter de couvrir la partie supérieur de mon corps, dont je sentais l’intimité violée uniquement à cause du regard perçant qu’il posait sur moi.

Lui – J’te laisse dormir dans ma chambre ce soir, mais demain j’te mets avec les chiens dit-il en écrasant sa cigarette sur le bord de la fenêtre

J’attends qu’il parte, puis je vais enlever la couette de sur le lit, et la pose par terre, ensuite je prends un coussin et dort à même

le sol.

Je n’avais tout simplement pas envie de dormir dans ses draps voilà tout.

Mes larmes se mirent à couler instantané­ ment, alors que je ferme les yeux en essayant d’imaginer que je suis encore dans mon petit duplex sur Paris.

Mais une question vient tambouriner contre les parois de mon cerveau et m’empêche de dormir: qu’est-ce que je fais ici?

[…]

? – Allez debout

J’ouvre les yeux, et une légère bribe de sou­ venirs me met dans un état ou je n’ai qu’une envie : celle de rapidement me rendormir pour ne plus penser à cette situation.

Au lieu de cela, mon corps se soulève comme par enchantement, et me propulse hors

du petit nid douillet de substitution que je

m’étais fabriquée la veille au soir.

Mon regard encore perdu dans le vague se pose sur un jeune homme à peine âgé d’une

vingtaine d’années, il me semble.

N’oubliant pas ce que m’en a coûté ma réplique de la veille, je me contente de le regarder avec méfiance en prenant bien soin de couvrir mon corps avec la couverture.

Moi – J’dois partir?

? – Partir où ?

Visiblement, il n’est au courant de rien.

Ou presque.

J’essaye de me lever, et sans que je m’y attende, la douleur dût a la balle que j’avais reçu la veille dans ma jambe, refit soudainement surface.

Je me mets à pleurer tout en soufflant coup à coup.

? – Oh qu’est-ce t’as?

Moi – Ah putain !

Il s’approche de moi, et comme je tenais ma jambe pour essayer d’en atténuer la douleur,

il devina sans difficultés d’où provenait ma souffrance .

? – Bouge pas j’appelle quelqu’un, garde ça sur ta jambe pour faire pression en attendant

Je fais ce qu’il me dit, en retenant mes larmes.

[…]

Moi – Hm merci

? – De rien, au fait moi c’est Kamel, le frère de

Sarny Moi-Sarny?

Kamel – Tes dans sa chambre en faite

Moi – Ah je vois

On ne parla pas plus, de toute façon je n’avais pas vraiment la tête à ça.

Je me lève avec difficultés, et me dirige vers la seconde porte, qui devait sûrement mener a une salle de bain ou à des toilettes, ou les

deux.

Je pose ma main sur la poignée, la tourne et tombe sur une belle salle de bain, c’est pas le plus important sur le moment mais j’voulais le souligner.

Je prends l’initiative de me doucher, je commence donc à enlever ma robe de la veille, et juste avant que je n’enlève mes sous vêtements, la porte s’ouvre violemment sur le fameux Sarny avec lequel j’ai eu la chance d’avoir une brève entrevue hier à peine.

Lui – Oh j’peux savoir ce que tu fais la?

Moi- Bah j’vais me doucher

Lui Rire et vas y t’as cru t’étais chez ta mère où c’est comment? Vas y Vas y remet, ton vieux rideau là, j’temmène dans ta nouvelle chambre

Ne souhaitant pas une nouvelle fois qu’il m’agresse, je le suis sans protester.

Nous descendons des escaliers, une fois où nous arrivons dans le salon, puis une

seconde fois où nous atterrissons devant un

long couloir à l’allure sinistre.

Il m’entraîne devant l’une des portes, la pousse avec vigueur et me dit :

Lui – C’est là que tu vas rester, j’veux pas t’en­ tendre ne serait ce que respirer c’est clair?

Quand j’aurai besoin de toi, j’te ferai signe

Moi- Ah d’accord, et qu’est ce que je fous la concrètement? J’ai rien demander moi, j’veux juste reprendre ma vie

Lui- Rire reprendre ta vie? Mais c’est finit tout ça, pour l’instant tu restes ici et quand j’aurai le temps je réfléchirai à ce que je te ferai

Et il s’en va, me laissant seule dans ce minuscule trou à rat.

Ne pensez pas que la vie est une chronique: je me retrouve dans une petite pièce de la taille d’une chambre et où se trouve deux matelas posés à même le sol.

Pleins d’idées tournaient en boucle dans ma tête, déjà qu’est ce que je fous la? Pourquoi moi? Je n’sais pas, j’ai toujours vécu ma vie

tranquillement, sans faire de problème, et le faite que j’me retrouve dans un tel engrenage me rend folle.

[…]

Lui – Lève ton cul, tu vas te laver sec

Je ne répond pas, et le suis.

On arrive dans une pièce juste a côté de ma  » chambre », j’y entre et vois juste du carrelage partout, et un long tuyau.

Moi- C’est quoi ça?

Lui – Enlève ta robe.

Moi – J’vais pas me déshabiller devant toi quand même?

Lui – J’ai dit enlève ta robe

Son ton se fit plus menaçant à présent.

J’enlève ma robe, mais garde mes

sous-veA     tements.

Lui – Tu gardes ça sur toi ?

Moi – Apparemment

Lui – Mets toi contre le mur

Soulagée qu’il ne m’oblige pas à me mettre à nue, je me place dos à lui avant de sentir le puissant jet d’eau gelé me broyer la colonne vertébrale.

C’est tout juste si je ne tombes pas à genoux, tellement le flux d’eau parait peser une tonne.

Il s’apprêtait à descendre sur mes jambes quand je le supplie presque de ne pas en faire autant.

Il éteint le tuyau d’arrosage en regardant ma cuisse d’un air soucieux, puis sort sans plus attendre son reste.

Je tente de toucher ma blessure du bout de mes doigts tremblants, mais la vue de la chair et du trou me donne juste envie de pleurer.

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Sarny revient aussi vite qu’il est partit, et se contente de me jeter une serviette dessus.

Comme si je m’attendais à la moindre once de compassion de sa part, il en a l’air incapable.

Je me sèche rapidement, et l’enroule autour de mon corps.

Lui – Tu fais quoi là ?

Moi – J’vais pas rester en soutif non ?

Lui- Ah c’est vrai t’as plus de sappes

Il me fait sortir de cet pièce, et m’enferme dans ce qui semble être mon nouvel habitat.

Je reste un moment sur le lit, les genoux sous mon menton, à réfléchir.

Ma cuisse me brûlait à tel point, que je finis par me persuader de son inexistence .

La douleur c’est dans la tête me répétais-je pour me rassurer semble-t-il.

[…]

J’entends la clé tourner dans la serrure, et me redresse aussitôt.

A suivre …

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CHAPITRE 10  ·.J.  ·

0    11,9 K   *  1,14 K      ..       92

<< Au début c’était des lol, aujourd’hui j’suis tombé love.

Selem Aleykoum,

Et là, je vois le frère du psychopathe .

Lui- Ça va?

Moi – J’ai faim et froid, mais à part cela tout va bien

Lui – }’comprends pas du tout ce que tu fous là

Moi – Ah bah on est deux alors Lui-T’as besoin de quelque chose?

Je me retiens de lui rire au nez, puis je finis par tenter un petit quelque chose.

Moi- Franchement  j’ai faim donc si j’peux avoir un grec ou un tacos ça serait bien

Lui – J’vais voir ce que je peux faire Surprise, je le remercie.

Moi- Merci

Il s’en va, et je reste a nouveau seule enfin pas pour très longtemps, d’après ce que j’ai pu comprendre ce matin.

[…]

Je somnoles encore, quand j’entends une nouvelle fois la clef tourner dans la serrure.

Je me lève directement, prête à récupérer mon repas, lorsque j’ai la mauvaise surprise de voir Sarny dans l’encadrement de la porte.

Lui Rire alors ?

Moi – Alors quoi ?

Lui – Tu te plais ici ?

Moi- Dis moi t’en a d’autres des questions connes?

Lui – }’t’aime bien toi

Moi- Bref j’peux sortir?

Lui – Un jour on verra

Moi-hm

Lui – A demain ma belle

Il commence aussi à prendre ses aises avec moi• , comme J• e voi• s.

Bon la vérité je préfères ça, comme ça s’il commence à venir régulièrement me rendre visite, je pourrais essayer de le séduire, et quand j’en ai l’occasion, je le tue.

Non je rigole, mais je pourrai m’enfuir.

Bref je reste seule très longtemps, et je m’ennuyais comme jamais tu n’as pas idée.

[…]

Je me fais réveiller par une deuxième voix, dans la pièce.

J’ouvre les yeux, et c’est la que je le vois.

Oh mon dieu, comme j’ai eu peur, c’était un homme la trentaine j’dirais, il est grand, cheveux très noir et coupe à la tahiti bob.

Il a le visage tout balafré, et il fait les cent pas dans la mini pièce qui nous servira de chambre pour une durée très indéterminée.

Je fais mine de me lever, et il tourne

instinctivement la tête vers moi.

Lui – Ah bonjour, je m’appelle Mohamed

Moi – Hm bonjour

Lui – Tu t’appelles comment?

Moi- Sarah

Je n’sais pas pourquoi, mais il ne m’inspire pas du tout confiance, et j’me sens obligé de lui mentir.

Lui – Non pour de vrai

Moi – Ben Sarah

Lui- Hmm tu fais quoi ici

Le gars il me parle, on dirait on est croisière sur un bateau qu’il me demande ce que je suis venue faire ici, sans rire.

Non faut que je me calmes, c’est pas normal de s’énerver comme ça, j’suis juste un peu sous tension c’est rien.

Moi – J’en sais rien et toi?

Lui – J’leurs dois de l’argent

Moi- ok

Mon « Ok » signifiant, je n’ai pas envie de plus parler avec toi.

Bref je me rendors, ou du moins je reste allonger sous ma serviette, parce qu’entre temps, Sarny était venue me ramener des

veA    tements propre.

Au bout d’un certain temps, Kamel vient nous

apporter ‘a manger.

J’ai le droit a mon tacos, et il en a aussi rapporter un a Mohamed.

Surprise qu’il ait accepté ma requête, je le remerci•e.

Moi – Merci Kamel

Lui- De rien

Mohamed – Tu le connais depuis longtemps ?

Moi-Non

Sûrement tu  dois trouver ça bizarre, que je veuilles lui mentir sur mon identité, mais bon pour l’instant j’ai pas confiance, je te jure et sans exagérer qu’il a un air de

psychopathe.

Bref je te passes jusqu’au lendemain, je me fait réveiller par un des gars de Sarny je penses, enfin si c’est lui le maître des lieux

Lui- Debout et suis moi

Moi – Pour aller ou ?

Lui – Viens, c’est le patron qui t’appelle

Moi – J’arrive

Je me lève, avec un peu de difficulté – au vue de ma blessure à la cuisse -, puis je le suis.

Comme je galérais à marcher, il s’arrêtait de temps en temps pour m’attendre.

Donc on monte les escaliers, et alors la je te raconte même pas comment j’avais mal à la cui• sse.

Ah mais c’est trop, il m’est carrément impossible de lever une jambe tellement ça me brûle.

Je laisse échapper un léger cri de douleur.

Le gars – Ça va ?

Moi- Non dis au patron de descendre, j’peux pas monter.

Le gars – J’arrive

J’attends un court instant, puis c’est sans surprise que je vois Sarny en haut des escaliers.

Il me regarde, et descend rapidement pour arriver a ma hauteur.

Sarny – Qu’est ce t’as?

Moi- J’arrive pas à monter

Sarny – Alors on fait comment ?

Moi – Bah parle tu voulais me voir

Sarny-Rire

Il ne me prend pas du tout au sérieux le petit con.

Moi- Bon je retourne dans ma cellule

Sarny Rire attends viens la

Il m’attrape par le bras, et se met à me porter tu sais en mode« princesse», bon c’est juste en mode hein, parce que dans la réalité

des choses je préférais éviter tout contact

corporelle avec lui.

On arrive en haut des escaliers, donc dans le salon, et il me pose délicatement sur l’un des canap, es.

Je me relève presque instantanément.

Sarny- Bon viens, je t’emmène a l’hôpital pour recoudre ça

Moi – J’vais pas sortir comme ça

J’étais en jogging oversize, sweat et pieds nus.

Sarny – On va à l’hôpital pas a un défilé, tu

restes comme ça j’vais te ramener des chaussures attend.

J’attends sans protester, ça va au moins j’vais pouvoir me faire recoudre parce que là, la douleur est insupportable.

Il revient peu de temps avec des tongs, et les jettes a mes pieds.

Lui- Mets ça

Moi- …

Je mets les tongs, et le suis direction sa voiture.

Sarny- Attends j’ai oublié quelque chose.

Je l’attends devant, et il revient moins d’une minute plus tard avec une perruque rousse et des lunettes de soleil qu’il m’ordonne de mettre.

[…]

Médecin – Comment vous êtes vous faites cette blessure ?

Moi- Je ..

Je me fais couper par Sarny.

Lui – Elle regardait mon arme, et à appuyer sans savoir quelle était chargée

Le médecin le regarde avec méfiance.

Le médecin – Vous travaillez dans les forces de l’ordre?

Lui – Je fais de la chasse, et j’ai un permis pour arme

Moi- Oui c’est ça

Je ne sais même pas pourquoi j’ai dit ça, c’est vrai, j’aurai pu tout lui raconter quant à ma situation, et il se serait sans doute empressé d’appeler la police et j’aurai été libre.

Oui mais moi je suis le genre de fille qui a tout le temps des bonnes idées après les faits.

Enfin, il me recoud, me donne des antidou­ leurs et tout le bordel, puis on retourne dans la voiture.

Lui- C’est bien t’as pas ouvert ta bouche

Moi – T’as de la chance, c’est après que j’ai capté dis-je en mettant ma ceinture

Lui – T’aurai été dans la merde me dit-il d’un air menaçant

Moi – Pas plus que je le suis en ce moment

Lui – J’ai des projets pour toi

Moi – Ah bon, et donc ?

Lui-Tu vastravailler pour moi.

A suivre …

En corrigeant les parties, je me rends compte qu’il y a presque rien à corriger: je fais des petites erreurs de langage, mais plus on avance dans l’histoire, et                                           plus mon style et mon vocabulaire s’enrichit, donc je vous demande de ne pas y                                                                                           prêter attention et poursuivre si l’histoire vous

plaît.

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1   CHAPITRE 11  ·-i

0     12,8 K   *  1,1 K      ..   274

<<Je n’ai pas tourné la page, je l’ai déchiré.>>

Selem Aleykoum 

Lui – Tu travailles pour moi maintenant .

Moi- J’ai pas mon mot à dire?

Lui-T’as plus rien à dire depuis que t’as eu

le malheur de te faire embarquer par mon

,equ1.pe

Alors qu’une sensation d’oppression me noua la gorge, je perdis mes mots face à l’annonce qu’il venait de me faire.

Lui – T’as perdu ta langue?

Moi- C’est d’accord dis-je à demi-mot

Lui – Bien, tu vas me servir pour les transactions, et pour m’accompagner quand j’ai des soirées d’affaires

Moi – Attend attend mais transaction de quoi? C’est quoi votre trafic là?

Lui – Trafic de drogue

Face à mon silence, il répliqua par une remarque des plus amusantes j’dois dire.

Lui – Ça te plait pas ?

Moi – J’ai le choix? fis-je sarcastique

Lui – Pas vraiment non

Un blanc un brin gênant s’installa, temps durant lequel je réfléchissais aux issues qui s’offraient dès à présent à moi.

Lui – En rentrant, tu vas prendre une des chambres du haut, et j’t’achèterai des sappes.

Tu vas pas sortir avec moi dans cette tenue .

Disant cela, il me lâche un rapide coup d’œil et accélère le rythme.

Peu de temps après, il se gare devant un fast-food.

Il sort de la voiture, et je reste seul.

Je t’avoue que j’ai peur, pour la première fois depuis longtemps, j’ai vraiment peur pour moi• .

Je n’arrive toujours pas à comprendre comment ma vie a pu basculer du jour au lendamain.

Je te jure on dirait vraiment, une des chroniques stéréotypées que je dévorais

étant plus jeune, où du moins tous les éléments en sont réunit.

Mais une chose est certaine, jamais je ne tomberai amoureuse d’un homme comme lui.

Je refuse d’être ce genre de femme qui commence à aimer leur violeur, ou leur kidnappeur, déjà parce que ce genre

de personne me dégoûte au plus haut point, et surtout parce que je trouve cela complètement stupide.

Comment tu peux aimer le gars, qui t’as fait du mal?

J’sais pas ça ne me parait pas logique.

Je ne sais même pas combien de temps je vais devoir faire cela.

A-t-il prévu de me relâcher un jour, ou décidera t-il plutôt de me tuer une fois qu’il n’aura plus besoin de mes services?

En attendant ce jour fatidique, il est prévu que je reste stoïque, sans laisser transparaître aucune émotion telle qu’elle

soit.

Après c’est clair que s’il veut jouer, on va J• ouer.

Il ne me connait pas, mais je sais être une très grande manipulatrice quand il le faut.

Revenons a la réalité.

Je le vois ressortir du fast-food, un tacos dans les mains.

Je le regardais encore, l’air pensive.

Il me voit, et me fait signe de le rejoindre.

Je sors de la voiture, et envisage tout d’un coup une multitude de possibilité pour m’enfuir.

Je pourrai par exemple courire, mais j’sais même pas où on est, donc on oublie Sihem.

Lui – Voilà ma nouvelle recrue les gars, elle s’appelle Sihem

Comment il sait ?

Ses amis me regarde, et sourient.

L’un – Selem moi cest Kaïs L’autre – Et moi Marouane Moi-Sihem

Rire.

Kaïs – T’as quel âge?

Moi- 21

Marouane – hmm cava c’est la moyenne pour ..

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase, que Sarny le coupa net.

Sarny- Sihem t’es sûre t’as pas faim?

Moi – Maintenant que tu le dis, si un peu .

Il me tend un billet de 10€.

Sarny – Tiens va te prendre à manger, j’t’attends .

Je suis bien évidemment la seule a remarquer, qu’il a bien insister sur le « j’t’attends », comme s’il pouvait deviner mes envies d’évasion.

Je rentre dans le grec, et sans faire attention aux autres personnes présentes, je me dirige vers le comptoir.

Cuisiner – Bonjour je t’écoute

Moi – Un tacos cordon bleu, escalope panée sauce blanche s’il te plait

Cuisiner – Je te prépare ça, tu me donnes ton nom?

Moi-Sihem

Cuisiner – Très bien un deux viandes pour Sihem, tu peux aller patienter, et quand c’est prêt j’t’apelle

Moi-Ok

Je vais m’asseoir à une table, en attendant qu’il me prépare mon repas.

J’ai l’impression de passer mon temps à

réfléchir j’te jure.

Au bout d’un court instant, je décide d’aller au toilettes pour faire pipi, et c’est en passant devant l’une des vitres que je vois mon

vi• sage.

Enfin je dis mon visage, mais je te jure qu’il est complètement méconnaissable.

J’ai des cicatrices sur les joues et le cou, et d’énorme bleu un peu partout sur les bras.

C’est peut être pour ça que le médecin paraissait méfiant, et que tout le monde me dévisage depuis que je suis entrée.

Pas grave ça va cicatriser, c’est pas le plus important pour l’instant, l’essentiel c’est que je sois encore en vie contrairement au

nombreuses personnes qui n’ont pas survécu ce soir la.

J’arrange ma perruque et file faire pipi.

Je finis ce que j’ai à faire dans les toilettes, puis je vais me rasseoir à ma place, en attendant que ma commande soit prête.

Je me fais rejoindre par Sarny qui m’annonce qu’on va directement aller faire les magasins après manger, comme si j’avais la tête à ça.

? – Sihem !

Je me retourne, et c’est avec soulagement que je remarque que’il ne s’agit que du cuisinier.

Je vais le rejoindre pour payer et récupérer ma commande, puis je sors de nouveau pour rejoindre Sarny.

On mange en silence.

[…]

Lui-On yva

Je me lève et le suis, direction sa petite polo bleue.

On roule pendant un long moment, avec un peu de musique.

Lui – T’écoutes quoi d’habitude?

Mon plan de « séduction » peut se mettre en

place.

Moi – J’sais pas un peu de tout, Ninho, Niro

Lui-T’as des bons goûts bien bien

J’esquisse un faux sourire, qui semble le satisfaire.

On arrive peu de temps après devant le centre commerciale, il se gare dans le parking sous terrain, et on monte tout les deux dans la galerie marchande.

Je suis là, vêtue telle une sans-abri et le visage tout boursouflé.

Franchement j’ai honte.

Sarny – Prends c’qu’il te faut, surtout des sappes de soirées.

Moi – Vous faites des soirée d’affaire dans le milieu de la drogue ?

Lui- Euh ouais

Pour une fois, il n’avait pas l’aire a l’aise avec ma question.

Il se détourna instantanément de ce sujet.

Lui – Tu vas là ?

Il me montra un magasin de vêtement, c’était Zara.

Moi – Euh ouais

Je me dirige vers un rayon, et commence à faire mon choix, quand une vendeuse vient a ma rencontre.

Elle – Bonjour vous avez besoin d’aide?

Moi- Non je vous remercie

Elle me regarde l’air étonné, peut être qu’avec mon allure elle a pensé que j’étais une roumaine ou quelque chose comme ça.

[…]

J’étais toujours plongé dans le rayon maquillage de Sephora, quand je me fais bousculer par une femme.

Je relève la tête, et c’est à ce moment là que

J• e reconnai• s ma sœur.

A suivre …

Kisss mes poules0

V*oter

Ç]

274

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CHAPITRE 12  ·i   ·

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<<Je t’ai donné ma confiance ne me déçoit pas.

>> 

!.

Selem Aleykoum 

Elle ne me remarque même pas, et moi je reste de dos pour éviter qu’elle me

reconnai•sse.

Je sais très bien ce qu’il se passerait: elle se mettrait à me poser toute sorte de questions, puis Sarny viendrait s’interposer et me forcerait à venir avec lui.

Autrement dit ça ferait du scandale pour rien, et même si j’arrivais à m’en sortir, je suis persuadée qu’il me retrouverait et me le ferait payer.

Je finis donc mes achats sous pressions, et sors accompagné de Sarny qui ne me lâche vraiment pas d’une semelle.

[…]

Je te passes l’après midi, j’ai acheté où plutôt il m’a acheté beaucoup beaucoup de choses, de quoi refaire tout une garde robe.

Une fois de retour dans ma prison, je le remercie brièvement puis je le suis pour qu’il me montre mon nouvel habitat.

Lui-Tiens, s’tu veux rajouter des meubles, où quoi tu me le demandes et j’te fais ça

Moi – D’accord

Détrompes toi, ma réponse ne signifie en aucun cas que je suis en accord avec tout ça, je penses tout simplement qu’il vaut mieux que je la  joue calme, le temps qu’il aie confiance en moi, et quand c’est le bon moment je m’enfuis.

Si j’y arrive.

Lui – C’est dix-huit heures là, prépare toi on bouge à vingts heures

Moi – D’accord

Il s’en va, et je reste toute seule dans« ma chambre».

Je commence par ranger tous mes nouveaux vêtements dans mon armoire, puis je vais ranger tout le maquillage dans la petite salle de bain qui se trouve dans une pièce avoisinante.

Ça de fait, je vais me doucher, une bonne et

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Ensuite je sors me sécher les cheveux, je me les boucles, puis je me maquille en dosant le fond de teint, de sorte à cacher mes cicatrices et mes bleues.

Pour finir, je vais enfiler cette sublime robe

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Je me parfume, prends ma pochette et regarde l’heure : 19h45.

Je descends dans le salon qui était

pratiquement vide, il  n’y a que trois hommes assis sur le canapé.

Je leurs demande où est Sarny.

Un des gars – Il est occupé

Moi-Ok

J’avoue que j’étais pas très a l’aise, en même temps c’est normal je ne les connais pas .

Un des gars – Et tu t’appelles?

Moi – Sihem et toi ?

Lui – Moi c’est Tarik, là mon frère Nabil et lui c’est Karim

Karim – Enchantée

Nabil-Tu fais quoi ici?

Moi – Je suis la nouvelle recrue

Tarik – Nouvelle? Mais j’croyais qu’il engageait pas de meufs ?

Sarny-T’as vu sa beauté ou pas?

Je me retourne et le voit faire une entrée théâtrale, dans son smoking noir.

Nabil- Ouais Tarik on en parle après frérot

Troisième fois que Sarny coupe net la conversation  quand ça parle de femme,                                                je commence à trouver cela de plus en plus

susp1• c1•  eux .

Sarny- T’as pas fait les choses à moitié dit-il en me détaillant de haut en bas.

Moi – Hm ouais faux rire

Sarny- On yva?

Moi – Euh ouais vas y fis-je hésitante

On dit au revoir aux hommes présent dans le salon, puis on se dirige vers sa voiture.

Moi- C’est quel genre de soirée?

Lui – Le genre très classe, avec que des vieux petés de thunes

Moi – Ah et pourquoi tu vas à ce genre d

soirée?

Lui – Pour faire des sous, pour le business quoi•

Moi- Je vois

Le reste du trajet se passe sans un mot, il met juste de la musique.

[…]

Après un certain temps, nous arrivons devant une somptueuse villa.

Quand je vois ça, clairement je me dis que                                                   la soirée va être délirante.

Il m’ouvre la porte, et me tend sa main que j’hésite à prendre.

Sarny – J’vais pas te manger

Plus par crainte des représailles qu’autre chose, je finis par attraper cette main qu’il me tend, et je me laisse entraîner en direction du lieu de la fête.

En attendant que quelqu’un vienne nous

ouvrir, Sarny me fait toute une série de recommandation.

,

Sarny – Ecoute, tu es libre en soirée si tu veux

parler à quelqu’un vas y, si tu veux graille vas y mais quand je t’appelle tu viens c’est compris?

Non mais je rêves.

Moi- Ouais d’accord

Un homme d’un certain âge,  finit par nous ouvri• r.

Lui – Bonsoir messieurs dames, je vous en pris entrez

On le suit, et il nous emmène dans une grande pièce, aussi remarquable que la villa vue de l’extérieur.

Une décoration raffinée, dans les tons blanc, beige, et crème .

Je remarque aussi qu’il y a déjà pas mal de monde, tous bien vêtus.

On s’apprêtait a prendre une coupe de

champagne, quand un couple de personnes

assez v.ieux v.ient a notre rencontre.

L’homme – Bonsoir monsieur Balrimi, vous nous présentez enfin votre épouse

Sarny – Oui voilà je vous présentes Sihem ma femme, Sihem voilà monsieur et madame Dunyach

L’homme – Et charmante en plus du reste

Sarny Rire chérie veux tu aller nous chercher a boire ?

Je me retiens de pouffer.

Moi – Avec plaisir

Sans te mentir, je ne savais pas que j’avais cette flèche à mon arc.

Je me dirige donc vers le buffet, et je nous sers deux verres :                    le premier de champagne pour Sarny, et le second de coca pour moi.

Je vide mon verre d’une traite, comme pour me donner de la force, et vais ramener l’autre a mon mari chère et tendre époux.

Lui – Merci ma puce

Le couple de vieux en face nous regarde avec admiration, en se lâchant des « c’est nous à leur âge » et j’en passes.

Alors que ça pue le jeu d’acteur.

Moi – Chérie je te laisse, je vais aller me remaquiller un peu

Lui – Vas y et ne tarde pas trop sourire

Je m’en vais donc a la recherche des toilettes.

[…]

J’allais repartir vers le grand salon, quand je me fais interpeller par une fille un peu plus

aA    geI      e que moi•  .

Elle – Eh psst, viens par ici

Moi – Tu parles à qui ?

Elle – Y’a quelqu’un d’autres peut être?

Je regarde derrière moi et ne vois personne.

Moi-Ah parce que tu ordonnes et j’accours

c’est ça?

Elle Rire il t’as pas choisis pour rien

Moi – Mais tu parles de qui la ?

Elle – De Sarny, et fais bien attention à toi

Moi rire c’est une menace?

Elle – Je préfères parler de mise en garde et sur ce je te souhaite une bonne soirée

Après cette conversation plus qu’étrange, je retourne rejoindre le reste des invités.

[…]

La soirée touche enfin à sa fin, Sarny et moi nous apprêtons a reprendre la voiture, après avoir dit au revoir aux hôtes.

On monte dans la voiture en silence, j’étais

.           ,

Juste crevee.

Sarny-T’as très bien joué la comédie

Moi- Et toi donc, on aurait presque pu y

croire fis-je ironique

Sarny – Quand ils ont lâché leurs phrases de fragiles, wAllah j’me suis retenus d’éclater de rire

Moi Rire mais pourquoi tu leurs as dit que t’avais une femme?

Sarny- J’en ai une

Moi- Mais pourquoi tu m’as faites passer pour elle?

Sarny- Je …

A suivre …

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